◮ Quelle type de famille votre personnage a-t-il connu?
Jemma a toujours eu une famille aimante et soudée, n'ayant j'amais cessé de vouloir donner de l'amour, la preuve, ils ont adopté deux enfants : Jaaziel il y a 20 ans, et Juana, la petite dernière il y a six mois. Les parents Hierra ont de l'amour à revendre, généreux, ils donnent tout pour que leurs enfants soient heureux, ce qui marche tout à fait bien vu la vie du cuator des j comme on appelle les Hierra, elle s'estime d'ailleurs heureuse d'avoir une famille telle que celle-ci.

◮ Comment sont ses relations actuelles avec celle-ci?
Jemma est une vraie mère poule avec la totalité des enfants Hierra. S'inquiétant toujours de leur bien-être et de leur bonheur, elle prépare souvent de bonnes petites pâtisseries, voire même des repas entiers, parfois gastronomiques. Quand l'un des enfants et malade, elle reste à côté de lui jusqu'à ce qu'il aille mieux, lui amenant tout ce dont il a besoin et tout ce qu'il veut, bref, pour Jemma, sa famille passe avant tout, c'est tout sa vie.

◮ De qui est-il le plus proche dans sa famille? Et s'il n'en a pas, qui considère-t-il comme sa famille?
Les deux enfants adoptés par la famille Hierra, Jaaziel et Juana ont toute l'attention de Jemma, ce sont ses chouchous d'amour, ce qui a le don d'agacer Joann. En effet, Jemma et Jaaziel sont plus qu'aux petits soins avec le petit bout de chou, et tous ces mots doux, ces gâteries, bref, toute cette attention pour Juana énerve profondément Joann, ce qui amuse Jaaziel et Jemma qui en rigolent et font exprès d'énerver Joann.

◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche?
Jemma se rappelle comme si c'était hier d'un moment passé au sein du cuator, autour de Juana. Jemma et Jaaziel, les deux ainés étaient en train de faire rire Juana, étant extrêment gagas avec elle, lui faisant des calins, des papouilles, des bisous, bref, la chouchoutant quoi. Et Joann était vautrée dans le canapé, juste à côté, sur son portable, était en train de marmonner, disant à quelle point ça l'insupporter de les voir comme ça avec Juana, et Jemma et Jaaziel se sont regardé, et n'ont même pas eu besoin de parler pour se comprendre, et ont donc encore plus chouchouter le bout de chou. Après ça, Joann est partie très énervée, se retenant pour ne pas crier sur ses deux ainés, et Jemma et Jaaziel ont explosé de rire.
Une phrase fétiche ? Jemma n'en a pas spécialement, elle répète tellement d'expressions dans une même journée qu'elle n'a pas qu'une phrase fétiche, même si elle dit souvent non mais sérieux!, ou encore en plus.

PSEUDO: heavyheart. AGE: 15 ans. COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : j'étais déjà là avant, mais j'avais connu le forum sur bazzart (je crois) . QU'EN PENSES-TU ?: ça se résume à: . DEDICACES: jaaz mon chouchou, et puis la famille hierra ceylaviiiiiie.

Code:

<taken>shay mitchell</taken>[color=black] ∞[/color] jemma n. hierra

CHAPTER ONE.La famille, ça apporte joies comme pleurs, mais surtout de l'amour.
Le douze juin mille neuf cent quatre-vingt onze, j'ai pointé le bout de mon nez à la maternité d'Acapulco au Mexique, moi, Jemma Nayeli Hierra. Je faisais la fierté de mes parents, aimants et généreux, qui n'attendaient que de fonder leur famille tant rêvée, d'enfants heureux et aimants également, et me voilà, à sourire à mes parents qui plus tard m'apprendront à quel point la vie n'est pas facile, mais aussi que tout le monde à le droit de rêver, cela fait partie de la vie humaine après tout. J'étais donc dans les bras de ma mère, découvrant le monde dans lequel je vis depuis maintenant vingt-et-un ans, voyant mon père, penché sur ma mère, me souriant du plus beau sourire que je n'ai jamais vu, les larmes au bord des yeux, c'était juste le plus heureux des hommes. Quelques jours après, j'ai changé d'endroit, d'environnement, j'étais rentrée dans ma maison d'Acapulco, avec mes parents qui avaient déjà tout préparé pour moi. Ils étaient toujours à côté de moi dès qu'ils le pouvaient, ils partageaient leur temps entre s'occuper de moi, et travailler pour pouvoir s'occuper de moi, il étaient totalement dévoués à m'éduquer comme ils le souhaitaient. Et puis, quand j'avais un an, un petit gars est arrivé, mes parents m'ont dit que j'avais maintenant un petit frère. Même si j'étais encore trop petite pour réaliser, je savais déjà que j'allais l'aimer, et le chouchouter comme personne, et ça n'a pas raté. N'ayant qu'un an de différence, j'ai vite développé une grande complicité avec Jaaziel, qui est toujours là d'ailleurs, et je ne changerais notre amitié, complicité et fraternité pour rien au monde, c'est tellement précieux à mes yeux. Quand j'avais quatre ans, et Jaaziel trois ans, une petite soeur est arrivée : Joann. C'était le troisième enfant Hierra, toujours aussi aimée par les parents, mais je trouvais moins de complicité avec elle, je ne sais pas pourquoi, notre relation n'avait rien à voir avec celle que j'avais avec Jaaziel, mais je l'aimais tellement fort. Je m'amusais avec elle, jouant à la poupée, bref, profitant de mon enfance entourée de toute ma famille.

CHAPTER TWO.Le départ de notre lieu de résidence nous rends souvent trite, mais ça permet de nouvelles et belles rencontres.
J'avais sept ans, Jaaziel en avait donc six, et Joann quatre. Nos parents nous avaient réunis pour nous annoncer une grande nouvelle : nous partons du Mexique pour aller à Scottsdale, dans l'Arizona, non loin de Pheonix. J'avais un sentiment partagé. Certes, j'étais tellement triste de quitter le Mexique que je considérais comme mon pays, et de quitter tous mes amis et toutes mes connaissances, mais en même temps, je ne pouvais pas en vouloir à mes parents. En plus, ça n'allait pas me faire de mal de changer un peu d'air, ça allait me permettre de connaître autre chose que ma routine mexicaine, et également de connaître de nouvelles têtes que j'étais impatiente de rencontrer à vrai dire. Le déménagement se fit sans aucun problème, ma famille était toujours aussi heureuse, le déménagement n'avait rien changé, ce qui m'avait fait peur au début à vrai dire. J'avais désormais quinze ans, j'étais au lycée, et il s'avèrait que j'étais travailleuse, et que depuis le début du collège, je savais ce que je voulais faire plus tard : architecte. Et je savais également que j'allais mettre toutes les chances de mon côté pour atteindre mon but, quoi qu'il arrive, j'allais tout faire pour réaliser mon rêve. Sinon, tout allait bien dans ma vie, je venais de rencontrer Maël, un jeune français d'un an de plus que moi étant dans le même lycée, et j'ai vite compris que notre histoire était basée sur des liens plus forts que l'amitié, on s'aimait c'est vrai, et notre histoire dura un an, un an de parfait amour, sans problème malgré quelques petites disputes insignifiantes. Après un an, j'étais toujours aussi heureuse à ses côtés, jusqu'à se qu'il disparaisse de la circulation. J'ai appris deux semaines après, par ma voisine qu'il était parti sans donner de raison à personne, qu'il avait juste quitté l'Arizona. Cette nouvelle m'a fait l'effet d'une bombe, et m'a totalement détruite.

CHAPTER THREE.Après une rupture douloureuse, il faut trouver par n'importe quel moyen pour s'en remettre ; pour moi, ça a été grâce à ma famille.
Cela faisait un an que je n'avais aucune nouvelle de Maël, et c'est à mon anniversaire des dix-sept ans que j'ai pris la décision de l'oublier, lui et toute notre histoire que j'avais trouvé parfaite jusqu'au moment où il m'a abandonnée. Je voulais le rayer totalement de ma vie, comme il l'avait fait pour moi un an plus tôt, j'avais le droit au bonheur après avoir passer un an à espérer des nouvelles, rien qu'un petit signe de vie et qu'il pense à moi, car moi, en un an, je n'ai jamais cessé de penser à lui. Ma famille m'a été d'un énorme soutient pour me remettre de cette rupture, et mon bonheur actuel, je le dois à eux, et également à mes amis, à qui je ne dirais jamais assez merci pour tout.