| | | Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... |  |
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« Lukaël Dashwood » Membre ∞ la famille des phoques "Il était là, seul, paisible, adorant la sérénité de son cœur, ému dans les ténèbres par les splendeurs des constellations invisibles, ouvrant son âme aux pensées de l'inconnu. Dans ces moments-là, offrant son cœur à l'heure où les fleurs nocturnes offrent leur parfum, allumé comme une lampe au centre de la nuit étoilée, il n'eût pu dire lui-même ce qui se passait dans son esprit, il sentait quelque chose s'envoler hors de lui. Mystérieux échanges des gouffres de l'âme avec les gouffres de l'univers !"
 ∞ âge : 28 ans ∞ pseudo : Clow' ∞ messages : 17
 | | Sujet: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 18:32 | |
|  Lukaël DashwoodJe ne cherche qu'à exprimer l'âme et le coeur de l'Homme.
[Frédéric Chopin].◮ Quelle type de famille votre personnage a-t-il connu?Tout le monde sait qu'on ne choisit pas sa famille, et pourtant j'ai eu la chance de le faire alors qu'on m'abandonna. Ma famille n'est autre que tout ceux que j'ai connu dans mes familles d’accueil. Une famille où entre enfant l'on se soutient et où j'ai toujours été le grand frère en quelque sorte, protecteur et je faisais tout et n'importe quoi pour eux, car il passait toujours avant moi. ◮ Comment sont ses relations actuelles avec celle-ci?Je n'ai aucune nouvelle de ma famille biologique, et pour ce qui est de ceux de mes familles d’accueil, j'ai perdu peu à peu contact au fur et à mesure du temps. Il me reste encore quelques frères et soeurs de coeur, ceux qui ont vécu l'enfer avec tel ou tel famille mais cela se fait rare, à croire que l'on veux oublier ce genre de période, et ne plus avoir contact avec les autres peut faire partie de ce processus... ◮ De qui est-il le plus proche dans sa famille? Et s'il n'en a pas, qui considère-t-il comme sa famille?C'est assez étrange de dire ça, mais j'ai dans mon coeur principalement deux femmes dont je suis amoureux... Oui ça fait moins familial tout d'un coup mais on est tout les uns pour les autres et lorsqu'on est pas ensemble, c'est souvent que les ennuies débarquent. ◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche?"L'espoir est le pire des maux car il prolonge la souffrance de l'Homme". Oui pas bien joyeux tout cela mais disons que cette phrase me semble tellement juste, mais je tente de m'améliorer je vous jure, un jour je serais moins pessimiste 
Dernière édition par Lukaël Dashwood le Lun 28 Jan - 3:02, édité 13 fois |
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« Lukaël Dashwood » Membre ∞ la famille des phoques "Il était là, seul, paisible, adorant la sérénité de son cœur, ému dans les ténèbres par les splendeurs des constellations invisibles, ouvrant son âme aux pensées de l'inconnu. Dans ces moments-là, offrant son cœur à l'heure où les fleurs nocturnes offrent leur parfum, allumé comme une lampe au centre de la nuit étoilée, il n'eût pu dire lui-même ce qui se passait dans son esprit, il sentait quelque chose s'envoler hors de lui. Mystérieux échanges des gouffres de l'âme avec les gouffres de l'univers !"
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| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 18:32 | |
|   - Alors Lukaël, asseyez-vous, ne faites donc pas le timide.Je rentre dans la pièce, regardant étrangement l’homme assis sur son fauteuil en cuir. Moi, timide ? Ce n’est pas vraiment cela, je me demande juste vaguement ce que je peux bien faire ici… J’avance et me place sur le fauteuil en face de cet homme, ne le lâchant absolument pas des yeux. Je pose une petite boite sur la table basse en face de moi. Une fois assis j’hausse les sourcils et lâche un petit rire. - Et maintenant quoi ? Je demande, peu convaincu par ce qu’il va se passer. - J’aimerais que vous me parliez de vous, voir si votre mémoire est bien revenue, parlez moi d’abord de votre enfance.Je le regarde alors que mon sourire se fane. - Qui y-a-t-il ? L’enfance, cela est facile, parlez-moi de votre famille, vos amis, vos professeurs. Cela devrait vous plaire de vous souvenir de cela, l’enfance est vraiment le meilleur moment de nos vis vous ne trouvez pas ?- A quoi bon dire que l’enfance est la meilleure période de nos triste vie, un mensonge de plus que tout le monde rabâche encore et encore…
Mon enfance… Quelle enfance ? Je ne me souviens pas de grand-chose, je me souviens d’un père absent ne voulant pas me voir car je ne faisais pas partie de ces attentes. Je me souviens de moi, pauvre petit garçon naïf, faisant tout pour lui plaire, devenant courageux. C’est à cette époque que ma curiosité fut encore plus attisée, est ce que cela fait mal ? Est-ce que ça brûle, coupe ou encore blesse ? Est-ce que je peux voler ?
Certes je revenais en sale état, blessé, en sang, plein de boue… Mais je voulais lui montrer à quel point il pouvait avoir confiance en moi, que plus tard j’allais devenir le parfait homme de la maison, que je suis quelqu’un de courageux qui n’a peur de rien, rien du tout.
Mais rien n’y fait. Je ne reçois que de l’indifférence.
Et puis je décide que cela n’a pas d’importance, que je vis pour moi et surtout pour ma mère qui elle fait tout pour moi. C’est elle qui me soigne, m’embrasse, me chante des berceuses… Et des chansons juste pour me faire rire.- Avez-vous un exemple de chanson ?- Bien sûre, il y en avait une qui me faisais rire aux larmes à tous les coups :
"Prout prout prout que je t’aime,
Viens ici mon petit ami,
J’ai quelque chose à te dire dans l’oreille,
Que je t’aimerais toujours à la folie YOUPI !"
Et puis lorsque j’ai eu cinq ans, vint le jour où l’on apprit que j’allais avoir une petite sœur. Je l’ai vu grandir dans le ventre de ma mère, je l’ai chouchouté sans même la connaitre et je lui chantais cette fameuse berceuse.
Et c’est à cette même époque que mon père est devenu présent. Un jour, il me prend dans ces bras et me dit que nous allons faire une balade en forêt.
Quand j’y repense franchement, j’aurais dû voir le truc arriver à cent kilomètres les yeux fermés.
On a roulé dans son camion pendant je dirais deux bonnes heures avant que l’on s’arrête au bord d’une forêt.- Sort de la voiture.Je ne me fais pas prié, trop heureux de pouvoir vivre un moment avec mon père. Je commence à courir comme un fou, j’ai toujours aimé la nature. Je me retourne pour voir où est papa et me dis qu’au final… J’aurais mieux fait de continuer à courir. Il me regarde durement, mais ce n’est pas ça que je regarde, mais plutôt le fusil qu’il tient à la main. - Papa… je demande totalement paniqué.
- Cours Lukaël… Et ne revient jamais…
Je le regarde sans comprendre… Ne jamais revenir… Sans attendre une seconde de plus il tire sur moi, me manquant de peu. Je cours comme un fou chutant assez rapidement alors qu’il continue de me tirer dessus et bien évidemment, il y a bien un moment où il ne manque pas sa cible. La balle traverse mon omoplate et je chute, tête la première. Je sens quelqu’un me retourner et ce n’est autre que mon père alors que la douleur augmente à mon épaule mais pas seulement. L’odeur âcre du sang envahit doucement ma bouche et je sens du liquide chaud couler non seulement de mon épaule, mais aussi de mon nez qui est sûrement cassé.
- Ne reviens jamais…
J’ai à peine le temps de voir son regard de dégoût à mon égard qu’il part déjà, m’abandonnant au milieu de la forêt.
La nuit commence à tomber doucement alors que je ne cesse de regarder les étoiles.
"Prout prout prout que je t’aime…
Viens ici mon petit ami…"
Ma voix n’est qu’un murmure alors que je me dis que c’est ainsi, que mon père n’a fait que ce dont il voulait depuis des années, se débarrasser de moi…
La dernière chose dont je me souviens, c’est la lune rougit qui m’observe sans pouvoir rien faire, criant en silence sa désapprobation et sa tristesse.Le médecin me regarde choqué, je peux facilement le remarquer avec sa bouche en O qui ne se ferme pas. - C’est une blague n’est-ce pas ?Je souris, me mettant de profil et dénudant mon omoplate pour lui montrer ma cicatrice. - Ce serait vraiment une blague de mauvais goût, mais non, ce n’en est pas une.Je me rhabille et me replace face à lui en souriant doucement. - " La vie est un rêve dont la mort nous réveille", je souris doucement. Lorsque je me réveille, je suis persuadé que je suis mort. Il y a de quoi porter à confusion, certes je ne vois pas ma vie qui défile, et pour ce qu’il y a à voir franchement… En cinq ans alors que je ne suis qu’à l’aube de ma vie… Mais disons que la lumière vive qui m’éclaire me fait penser que j’arrive au bout du tunnel.
J’ouvre difficilement les yeux et me rends compte que je suis en fait sur un lit, avec une stupide lumière trop forte qui me brûle les yeux.- Enfin tu te réveilles.Je me retourne et tombe sur un enfant… Pas qu’il est mal en point, mais il mériterait une bonne douche et surtout un bon coup de brosse dans sa tignasse. - Ca fait deux jours entiers que tu dors. C’est Madame Anita qui t’as retrouvé dans la forêt.Je tente de me relever et lâche un cri de douleur alors qu’une jeune femme entre.- Reste tranquille, tu as perdu beaucoup de sang. J’ai récupéré la balle que tu tenais si fort dans tes mains.Je la regarde, je ne me souvenais même pas de cela… J’observe la balle, fasciné. Comment un si petit truc peut faire autant de mal.
Depuis ce jour, j’ai toujours une cicatrice qui fait partit de moi désormais, et je porte la balle en pendentif, histoire de me rappeler chaque jour que la vie ne tient qu’à un fil, ou un fou…- D’où viens-tu ? Il faut qu’on appelle quelqu’un de ta famille ?Alors que je sens mes yeux s’embrumer je la regarde et répond assez froidement.
- Je n’ai pas de famille et nulle part où aller…
Et c’est ainsi que je me retrouve balloté de famille d’accueil en famille d’accueil, plus ou moins bonne, et comme le hasard fait bien les choses, je ne restais guère plus de quelques mois avec les meilleurs d’entre elle… J’ai souvent rêvé de cette période durant mon coma… Je comprends que maintenant pourquoi… - Et pourquoi donc ?- Parce que ce que j’ai vécu durant l’enfance est comme un coma. L’obscurité, la solitude, on ne peut pas bouger, on ne peut pas parler, on ne peut juste que s’endormir… Oui comme un petit volcan qui n’aspire qu’à être réveillé un jour. Le médecin a toujours son air surpris et moi mon sourire s’élargit alors que j’hausse les épaules. - C’est comme ça que voulez-vous, et je me dis que c’est mieux que ce soit tombé sur moi plutôt que sur quelqu’un d’autre… Je veux dire, je suis plutôt fier d’avoir eu la force de caractère suffisante pour me battre et ne jamais lâcher prise. Oui même si c’était dure, horrible par moment, je suis heureux que ce soit moi plutôt qu’un autre pauvre enfant.- Que s’est-il passé ensuite ?- Ensuite, j’ai beaucoup étudié et je suis entré à Harvard.- Vous ne me raconterez pas votre adolescence ?- A quoi bon, j’avais le nez dans les livres, m’imprégnant de tout ce qu’il y a de fantastiques, des légendes etc, c’est devenu une véritable passion. Ou alors, j'étais le nez dans les moteurs de voiture...- Ce n’est pas la musique ?- Si, la musique aussi, disons qu’elle est un bonus dans ma vie, le piano était ma voix lorsque plus jeune personne ne m’écoutait, et il l’est toujours. Mais ce ne fut pas sa le plus important à Harvard…- Racontez moi… - Tout tient en deux mots, ou plutôt deux noms. Kailani et Audrey. Je me souviens alors que j’allais rentrer dans mon nouvel appartement de cette belle brune attendant impatiemment de rentrer chez elle. Je me suis même demandé pourquoi elle ne le faisait pas alors que ces clés ne cessaient de tinter dans sa main. Puis, un homme sort de l’appartement et moi je souris alors qu’une jolie blonde fait son apparition.
- J’ai fini, avait dit la blonde en souriant.
- Franchement, j’aime pas attendre derrière la porte.
- La prochaine fois entre, il était pas si génial.
Et j’avais rigolé en même temps qu’elle. Mon portable a sonné, et c’est ainsi qu’elles se sont rendu compte de ma présence, me saluant et me souhaitant la bienvenue ici.
J’ai rapidement appris à les connaitre, et je suis rapidement entré dans leur bande. A chaque fois que j’en vois une, mon cœur s’emballe, je me sens même parfois rougir, et lorsqu’elle sont toutes les deux ensemble, je me demande jute comment je fais pour tenir.- Êtes-vous amoureux de ces femmes ?- L’amour… Une chose bien compliqué, mais oui, je les aime de tout mon cœur. Si quelqu’un leur fait du mal, il me fait du mal à moi aussi et c’est sans regret que je me venge pour les protéger.- Mais, on ne peut pas être amoureux de deux femmes en même temps. Je regarde autour de moi, voyant des CD traîner dans sa bibliothèque. - Je vois que vous aimez Mozart.- Oui.- Et je remarque aussi du Chopin.- Oui j’aime beaucoup Chopin.- Comment vous faites pour aimer deux compositeurs en même temps ?- Ce… Ce n’est pas la même chose.- Détrompez-vous, c’est exactement la même chose. Vous les aimez tous les deux, l’un classique, suivant les ordres établit avec vigueur et convictions, et l’autre, romantique, parlant avec son cœur, son âme torturée, sa mélancolie… Vous les aimez pour leurs différences… C’est la même chose pour moi. La blonde charmante, souriante extravertie est joyeuse, très joyeuse, et puis la brune, sulfureuse, mystérieuse et si sage comparé à son amie. L’une est Mozart, l’autre est Chopin, que puis-je faire lorsque ces deux femmes m’entourent dites le moi ?Il détourne le regard sans même me répondre et je souris, sachant pertinemment que j'ai raison. - C’est bien ce que je pensais. Le truc, c’est que ces filles me rendaient bien mon amour en un sens… Elles jouaient avec moi, voyant parfaitement mon béguin pour ces deux créatures, et moi je ne pouvais leurs en vouloir de m’en faire baver, de jouer avec mon cœur qui ne cessait de s’accélérer lorsqu’elles étaient trop proches de moi. Notre jeu presque malsain dura quatre ans, jusqu’à ce que l’on soit diplômé. Il fallait bien suivre notre chemin, n’ayant pas les mêmes envies, il fallait donc nous séparer et ça, je peux vous dire sans l’ombre d’un doute que ce fut la chose la plus difficile à faire de toute ma vie. Je voulais partir avec les deux tous simplement, mais il a fallu que je fasse un choix… Je devais faire un choix et je n’y arrivais pas… Je suis donc resté seul, les laissant partir toutes les deux et je peux vous dire que mon cœur fut brisé. Un morceau partait avec Blue, et l’autre avec Kai, si bien que je me retrouvais horriblement seul. Je me penche sur la petite boite, l’ouvrant et sortant une photo des deux femmes souriante et magnifique. Je touche doucement la photo du bout des doigts, suivant les courbes de leurs visages, mélancolique. Puis mon regard se pose sur les billets d’avion périmé dorénavant. - Je me souviens avoir acheté ces billets afin de réunir les deux femmes que j’aime avec moi, mais on s’est tous ce qu’il s’est passé ensuite.- Dites-moi Lukaël, cela vous aidera.- M’aider à quoi, j’ai eu quatre ans pour méditer la dessus ! je commence à hurler. Je tente de respirer doucement pour me calmer. - Vous le savez, j’ai trop bu, j’ai voulu me battre car j’étais en colère contre moi-même comme toujours depuis qu’elles m’ont quitté, sauf que je me suis frotté à plus fort que moi. Je me souviens parfaitement du coup de poing, de ma tête se fracassant sur le sol…- Et ensuite… - Phébus aime ; à Daphné qu'il a vue, il désire s'unir (...)
Il contemple les cheveux de Daphné qui, sans ornements, tombent sur son cou : "Que serait-ce si elle les parait ? dit-il. Il voit ses yeux étincelants comme des astres, il voit sa petite bouche, qu'il ne lui suffit pas de voir ; il vante ses doigts, ses mains, ses poignets, ses bras nus plus qu'à moitié ; ce qu'il ne voit pas, il le suppose plus beau encore. Elle, elle fuit plus rapide que la brise légère (...)
Mais le poursuivant, aidé par les ailes de l'Amour, est plus rapide, pour lui le repos est inutile ; il se penche sur la nuque de la fugitive et effleure de son souffle la chevelure éparse sur son cou."A l'aide !, mon père, dit-elle (...) Métamorphose-moi pour me délivrer d'une beauté trop aimable."
(...) une lourde torpeur envahit ses membres, une mince écorce ceint sa délicate poitrine, ses cheveux poussent en feuillage, ses bras s'allongent en rameaux ; ses pieds, il y a un instant, si rapides sont fixés au sol par de solides racines, la cime d'un arbre occupe sa tête ; de sa beauté, ne demeure que l'éclat.
Phébus, cependant, brûle de la même passion, la main droite posée sur le tronc, il sent encore, sous la nouvelle écorce, battre le cœur ; entourant de ses bras les rameaux - qui étaient les membres de Daphné - il étouffe le bois de baisers ; mais les baisers du dieu, le bois les refuse. Alors le dieu lui dit : " Puisque tu ne peux être ma femme, tu seras, du moins, mon arbre " ; laurier, tu pareras toujours ma chevelure, ma cithare, mon carquois ; (...) Péan avait fini de parler ; alors le laurier inclina ses jeunes rameaux et on le vit agiter sa cime comme une tête."- Je vois que vous vous souvenez des légendes aussi.- Je vous l’ai dit, un hobby, et puis, la clé de mes études aussi. Comme Daphnée, alors que j’étais en détresse, mon corps s’est transformé en arbre, vivant toujours, respirant toujours hors de tout danger mais incapable du moindre mouvement. Seules mes oreilles sont mes guides, j’entends des poèmes, histoire et autres légendes, mais pas seulement. Je suis souvent bercées par des notes de musique, de piano qui flottent autours de moi. Elles apportent un peu de couleurs et gaité dans cet enfer.
Car où suis-je si ce n’est en enfer… Trop d’obscurité et de douleur… J’entends même quelque bip agaçant mais quoi de plus normal lorsqu’on est à l’hôpital à cause d’un attardé… Je me suis ainsi réveillé quatre ans plus tard sans souvenir, est ce fut affreux de ne rien avoir, de ne rien savoir.- C’est cette boite qui vous a permis de vous rappeler.- Oui, je m’en serais voulu si je les avais oublié… - Et que comptez-vous faire maintenant.- Je compte bien les retrouvez pour ainsi faire rebattre mon cœur. Et je compte bien faire un choix… Si elles ne l’on pas déjà fait pour moi, car après tout, j’ai disparu quatre ans sans leurs laisser la moindre nouvelle… J’aime à croire qu’elles pensent encore à moi, qu’elles se sont inquiétées pour moi… J’aime à me dire qu’elles ont refait leurs vie car je ne suis pas égoïste, mais d’un autre côté, j’espère qu’elles m’ont attendu comme moi j’ai pu attendre mon réveil afin de les revoir…
Dernière édition par Lukaël Dashwood le Dim 27 Jan - 22:50, édité 4 fois |
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« Jude T. Sunderland » admin ∞ don't make it bad ∞ âge : vingt-cinq ans. ∞ pseudo : sweet poison. ∞ messages : 50
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 19:51 | |
| Bienvenue, bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas  Par contre Max est déjà pris ^^" il n'était pas dans le bottin, sûrement un oublie de la part d'une des admin, désolée ^^" |
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« Lukaël Dashwood » Membre ∞ la famille des phoques "Il était là, seul, paisible, adorant la sérénité de son cœur, ému dans les ténèbres par les splendeurs des constellations invisibles, ouvrant son âme aux pensées de l'inconnu. Dans ces moments-là, offrant son cœur à l'heure où les fleurs nocturnes offrent leur parfum, allumé comme une lampe au centre de la nuit étoilée, il n'eût pu dire lui-même ce qui se passait dans son esprit, il sentait quelque chose s'envoler hors de lui. Mystérieux échanges des gouffres de l'âme avec les gouffres de l'univers !"
∞ âge : 28 ans ∞ pseudo : Clow' ∞ messages : 17
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 20:24 | |
| Oh zut ! C'est dommage  Mais bon tant pis, je change donc pour Jensen (je ne m'en plaindrais pas non plus  ) Merci beaucoup  |
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« P. T.-Alexander C. Scott » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : 24ans ∞ pseudo : Neventer ∞ messages : 76
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 20:39 | |
|  JENSEN = GOD.  TROP bon choix d'avatar et de prénom ! Bienvenue parmi-nous ! Bon courage pour ta fifiche aussi ! J'veux un lien  |
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« Lukaël Dashwood » Membre ∞ la famille des phoques "Il était là, seul, paisible, adorant la sérénité de son cœur, ému dans les ténèbres par les splendeurs des constellations invisibles, ouvrant son âme aux pensées de l'inconnu. Dans ces moments-là, offrant son cœur à l'heure où les fleurs nocturnes offrent leur parfum, allumé comme une lampe au centre de la nuit étoilée, il n'eût pu dire lui-même ce qui se passait dans son esprit, il sentait quelque chose s'envoler hors de lui. Mystérieux échanges des gouffres de l'âme avec les gouffres de l'univers !"
∞ âge : 28 ans ∞ pseudo : Clow' ∞ messages : 17
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Dim 27 Jan - 20:45 | |
| Oh merci beaucoup Avec plaisir pour le lien, je te garde une place bien au chaud  |
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« J. Yseult Dickens » Admin ∞ like a tragedy PUTAIN, VOUS M'AUREZ PLUS. Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu, qu’on prend pour l’océan, dans lesquels on voit Dieu, qui font toucher du bout des doigts les horizons. Et toujours à la fin, on est seul au milieu des vagues de sanglots et du sel dans la gorge, et du sel sur la plaie de ce cœur tatoué. A son nom que l’on crie au fond des verres de vin. A se dire que la vie, oui n’était qu’une putain. ∞ âge : 27 ans. ∞ pseudo : RedSnow ∞ messages : 437
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Lun 28 Jan - 10:26 | |
| OUELCOME Bon courage pour ta fiche  . Si tu as des questions, n'hésites pas  . Alors autant je déteste Jensen, autant j'ai adoré Lukaël et ta fiche! Son père est presque aussi pire que le frère de Yseult, nous faudra un lien . Il y a quelques fautes (mais je suis assez mal placée pour dire ça), mais rien de trop trop gênant. Je te Yselide donc. |
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« Lukaël Dashwood » Membre ∞ la famille des phoques "Il était là, seul, paisible, adorant la sérénité de son cœur, ému dans les ténèbres par les splendeurs des constellations invisibles, ouvrant son âme aux pensées de l'inconnu. Dans ces moments-là, offrant son cœur à l'heure où les fleurs nocturnes offrent leur parfum, allumé comme une lampe au centre de la nuit étoilée, il n'eût pu dire lui-même ce qui se passait dans son esprit, il sentait quelque chose s'envoler hors de lui. Mystérieux échanges des gouffres de l'âme avec les gouffres de l'univers !"
∞ âge : 28 ans ∞ pseudo : Clow' ∞ messages : 17
| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... Lun 28 Jan - 12:50 | |
| Merci beaucoup ! Ô cela me touche si j'arrive à te faire aimer par intermittence Jensen Je vais faire attention promis, et puis... Ouuuuh j'adore me faire Yselider   Bref, merci encore ! |
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| | Sujet: Re: Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... | |
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| | | | | | Lukaël Dashwood Ҩ Free me from this world I don't belong here It was a mistake imprisoning my soul... | |
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