| | | (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. |  |
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« Y. Jaaziel Hierra » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : vingt-ans, en route pour les vingt-et-un. mais toujours aussi beau, aucune ride .. pfoua, ilikeit. ∞ pseudo : feeling free. ∞ messages : 127
 | | Sujet: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 21:35 | |
|  ysaïs jaaziel hierraqui m'aime me suive, c'est pas mal ça non ?  NOM: hierra, oh yeah. PRÉNOMS: ysaïs jaaziel ioan randall lowell ÂGE: la vingtaine, tout pile ! en route pour les vingt-et-un ans. LIEU ET DATE DE NAISSANCE: guadalaraja (mexique), le 15 septembre 1992. METIER: étudiant en arts, deuxième année (photographie, dessin, peinture, musique..) ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuel, car les mam'selle ceylavie. ou orphée ceylavie, plutôt  SITUATION CIVILE: secrètement en couple avec la soeur de mon meilleur ami afin d'éviter qu'il nous tue, soit la jolie et magnifique blondie qu'est Orphée. QUALITÉS: drôle, attentionné, généreux, à l'écoute, persévérant, optimiste. DÉFAUTS: jaloux, méfiant, impulsif, hyperactif, vite lassé, borné. GROUPE:écrire ici. COPYRIGHT: tumblr mon bff. surnommé Jaaz' par la plupart de ses amis et proches ◮ quand il veut quelque chose, il finit par l'avoir ◮ au lycée, il était plus du genre coureur de jupons ; on peut clairement dire qu'il a une longue liste d'aventures d'un soir ◮ c'est grâce à Orphée qu'il connait sa première histoire d'amour, réelle ; il tient énormément à elle ◮ il passe ses journées à dormir quand il peut et a horreur d'être réveillé ◮ il adore les disneys et les dessins animés en tout genre et les regarde souvent avec ses soeurs ◮ il a trois soeurs ; Jemma -aînée d'un an-, Joann -deux ans de moins- et Juana -petite dernière de un an et demi adoptée il y a six mois- ◮ son meilleur ami est Maxence, rencontré en primaire ; il est le frère d'Orphée, et ils n'ont d'ailleurs pas dit à ce dernier qu'ils sont ensemble ◮ sa couleur préférée est le bleu ◮ le dimanche, il reste toujours en pyjama ◮ son plat favoris est le kebab ◮ il n'a jamais voulu connaître ses parents biologiques ◮ quand il ne va pas bien, il s'enferme dans sa chambre ◮ il a connu une période au lycée où il se droguait mais Max l'a aidé à s'en sortir ◮ aujourd'hui, il fume simplement ◮ ses chaussures préférées sont ses Nike, qu'il possède en plusieurs couleurs ◮ il adore les animaux et ne cesse de demander un chien au couple Hierra ◮ avec Jemma, ils adorent embêter Joann et chouchouter Juana ◮ il est très fort aux jeux vidéos et bat toutes ses soeurs à chaque fois ◮ quand il est nerveux, il se mordille la lèvre inférieure ou passe sa main dans ses cheveux ◮ ◮ Quelle type de famille votre personnage a-t-il connu?
Tout n'a pas toujours été simple au niveau familial pour Jaaz. Il a été abandonné par famille biologique alors qu'il avait à peine un an, il n'a donc jamais réellement su ce que c'est que de grandir avec ses vrais parents. Seulement, la famille Hierra n'a jamais douté et l'a directement adopté à peine est-il arrivé à l'orphelinat, au Mexique. Il a alors grandit avec sa nouvelle famille, et jamais il ne s'est senti malheureux. Une famille aimante, attentionnée, un peu tarée sur les bords mais c'est tout ce que Jaaz attendait : recevoir de l'amour, ce qu'il n'a pas eu dès sa naissance.
◮ Comment sont ses relations actuelles avec celle-ci?
Jaaz s'entend très bien avec tout le monde. Il est très proche de ses deux parents, il se confie à eux assez facilement ; bien sur, avec le reste des enfants Hierra ( notamment Jemma et Joann), ils adorent leur mener une vie "dure", les faire râler un bon coup à peine la semaine commencée. Même si Jemma, Joann et Juana ne sont pas ses réelles soeurs de sang, il les chérit comme telles, les protège. Il est le seul garçon du cuator, il est évident qu'il a une place importante au sein de toutes ces filles. Une petite famille unie, en bref.
◮ De qui est-il le plus proche dans sa famille? Et s'il n'en a pas, qui considère-t-il comme sa famille?
Jemma -la grande soeur- reste celle dont il est le plus proche. Lorsque Jaz a été adopté, elle était seulement âgée de quasi deux ans mais en grandissant, ils ont développé un lien extrêmement solide, voire même incassable. Il est pour eux impossible de dire ce qui les uni le plus, si ce n'est que Jemma a toujours défendu son "petit-frère" dans toutes les situations. L'adolescence n'a fait que les rapprocher, Jaaz est devenu d'avantage plus protecteur, le réel rôle d'un frère même si ce dernier s'avère être âgé d'un an de moins.
◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche?
Jaaziel a eu une période où il se disait qu'il ne méritait peut-être pas d'être dans une famille aussi géniale que celle des Hierra, qu'il avait l'impression d'être de trop. Bien entendu, ce n'était que des impressions puisqu'il a toujours été comme le propre fils du couple Hierra. Un soir, Jaaz a trouvé sa grande soeur dans sa chambre et là ... il s'est mis à pleurer d'un seul coup, devant elle. C'était la première et dernière fois que Jaaz a pleuré devant elle, parce qu'aujourd'hui, elle remet parfois le sujet sur le tapis pour embêter au mieux le jeune homme. Ce qui marche au passage. C'est peut-être pourquoi Jaaz fait de "qui aime bien châtie bien" sa phrase favorite.
Dernière édition par Y. Jaaziel Hierra le Dim 20 Jan - 14:59, édité 2 fois |
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« Y. Jaaziel Hierra » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : vingt-ans, en route pour les vingt-et-un. mais toujours aussi beau, aucune ride .. pfoua, ilikeit. ∞ pseudo : feeling free. ∞ messages : 127
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 21:36 | |
|  I was just a baby, i always wanted to be loved and then you came to save me. « Je suis désolé bébé, maman reviendra. » C’étaient les prétendues dernières paroles que ma mère biologique m’avait dîtes, seulement j’étais bien trop petit pour les comprendre. J’avais à peine un an. Ma mère avait un rapport avec un homme (dont elle ne connaissait même pas son identité) et voilà qu’elle avait fini enceinte. Ce bébé, c’était moi, j’étais la création d’un rapport entre inconnus, sans aucun amour ni sentiments. Ma mère avançait d’un pas à la fois lent et hésitant. A plusieurs reprises, elle faillit faire demi-tour mais cette fois fut la bonne. Elle me déposait à l’entrée du bâtiment, et déguerpissait comme un voleur. L’orphelinat. C’était là que j’allais grandir, c’était là où j’avais lâchement été abandonné. Je ne me rappelais évidemment de rien et au final, ce n’était pas plus mal. Une femme du personnel me trouvait sur le ponton, mes yeux grands ouverts et mes bras tendus, comme si j’étais en manque d’amour. Bizarrement, je ne pleurais pas, je ne faisais aucun bruit. D’un air attendri, cette femme me prenait dans ses bras. « Petit bout, qu’est-ce que tu fais là ? » Même cette femme était plus aimante que ma propre mère. Elle me donnait un surnom affectif, et déjà elle me déposait quelques baisers sur le haut de mon front. Elle balayait un instant mes quelques cheveux noirs, pour finalement me sourire de façon rassurante. « On va s’occuper de toi, on va te trouver une famille. Tu seras heureux. » Je grandissais dans cet orphelinat, mais il ne fallut pas longtemps pour que je sois accueilli dans ma nouvelle famille.
« Monsieur et Madame Hierra ? » demandait la directrice de l’établissement, souriant de façon polie à ce couple mexicain. « Je vous en prie, entrez et installez-vous. » Après avoir signé quelques papiers, respecté les formulaires et les lois au passage, ils venaient tous dans la petite chambre où je me trouvais. C’était la première fois que je les voyais et eux aussi. Bien sûr, ils avaient probablement eu des photos de moi si ils avaient pris la décision de m’adopter. « Il est magnifique. Regarde ses grands yeux ! » La femme qui s’avérait désormais être ma mère me prenait doucement contre elle, ajoutant quelques commentaires de façon la plus tendre. « Bientôt tu seras à la maison, avec maman, papa et puis Jemma. Tu verras, on sera heureux tous ensemble. » Et je passais de bras en bras, dans ceux de mes nouveaux parents, mes sauveurs, mes héros.
 Quinze ans étaient passés ; j’avais désormais seize ans, Jemma en avait dix-sept. Et puis il y avait la petite dernière, arrivée deux ans après moi, Joann. Elle entamait sa quatorzième année et donnait déjà du fil à retordre aux parents. Nous avions quitté le Mexique après la mutation de mon père ; c’était un poste important, il était primordial pour lui qu’il continue son boulot, d’autant plus qu’il ne se voyait pas nous quitter pour se rendre en Arizona. Scottsdale. Dix ans que nous y habitions désormais ; une ville charmante, qui avait ses atouts comme ses inconvénients. Notre nouvelle maison, c’était le bonheur. Grande, bien placée, en bref, c’était encore mieux qu’à Guadalaraja.  « LES ENFANTS, C’EST PRET ! » C’était comme un troupeau d’éléphant qui arrivait jusqu’à la cuisine. En réalité, ce n’était que Jemma, Joann et moi. A nous trois, nous faisions un boucan infernal, ce qui faisait d’ailleurs râler notre père. « Combien de fois faudra-t-il vous répéter d’y aller molo dans les escaliers ? » « Ouiii, papaaaa ! » lancions-nous tous en cœur, comme des enfants éduqués au doigt et à l’œil. Il riait alors, ce qui me décrochait un sourire sur mes lèvres. « JEMMA ARRETE DE PRENDRE TOUT CE QUE JE VEUX PRENDRE ! » « Arrêtez de crier, bon sang ! » Ma mère posait le plat sur la table, fusillant les deux jeunes filles du regard. Moi je les narguais, leur tirant la langue dans la plus grande dis-« Jaaziel, range-moi cette langue ! T’aura pas de dessert si tu continues ! » Je n’ai rien dit.  Le dessert, c’était l’argument infaillible, celui qui me rendait sage jusqu’au plus haut point. « Alors les enfants, votre journée ? » Il était évident que Joann prendrait la parole en première … « C’était chiant les cours, j’m’ennuie trop là-bas. » Qu’est-ce que je disais ? « Ah parce que t’arrives à suivre avec le peu de cerveau que t’as ? » « Jaaziel ! » « Nia nia nia, t’es pas mieux toi, pff. » Elle me lançait sa serviette dessus, ce qui moi me faisait plus rire qu’autre chose. « J’avoue que Jaaz n’a pas tort… » surenchérissait Jemma l’air de rien. Nous nous lancions un regard complice avant de partir dans un fou rire. « Calmez-vous ! Vous avez fini, oui ? Laissez votre sœur tranquille cinq minutes. » Elle nous le répétait dix dois par jour mais jamais on se lassait d’embêter la petite dernière. Avec son tempérament de feu et parfois imprévisible, nous adorions voir ses réactions. C’était le genre de soirée que l’on passait tous les soirs, dans la bonne entente … et dans la chamaillerie !  Maxence. Je l’ai rencontré primaire, à peine après avoir débarqué à Scottsdale. Ce jour-là, il ne nous avait pas fallu beaucoup de temps pour faire notre première connerie ensemble. Un pot de crayons, seuls dans la salle de classe … Et l’art, c’est tellement beau. Une maison par-ci, un arbre par-là. Oh et puis des bonhommes disproportionnés. Le mur avait vite trouvé un peu de nouveau dans sa décoration, mais pas forcément de la façon espérée. « Qu’est-ce que vous fai-C’EST QUOI CA ? » De nos yeux attendrissants, nous tentions de persuader la maîtresse de ne pas nous punir. « On a rien fait. » commençait Max de sa petite voix. Quant à moi, je venais en aide à mon nouvel ami. « C’est le vilain méchant pas beau. » « C’est ça, bien sur ! Vous allez tous les deux au coin ! » Au fond, on s’en fichait déjà des cours. Dans le sens où admirer un mur … c’est tellement inspirant.  « Pourquoi t’es ENCORE en retard ?! » Maxence pressait le pas une fois que j’arrivais à sa hauteur. « J’étais … occupé. » « Ouais c’est bon, avec une de tes nanas là, me fait pas de dessin ! » J’esquissai un sourire amusé, alors que mon meilleur ami, lui, semblait énervé de l’attente. Au fond, je le comprenais. Quand c’est lui qui arrivait en retard, j’étais toujours sur les nerfs. Sauf que lui, c’était très rare. Jusqu’à la maison des Andersen, il m’avait tiré la tronche mais j’avais bien vite trouvé l’argument pour faire changer son humeur. « On se fait un méga gros quatre heures Maxxie chéri ? » Je souriais de toutes mes dents, espérant de tout mon être qu’il accepte. « T’es chiant. » « Ca veut dire oui ? » Je passais à sa gauche, puis à sa droite tout le long de l’allée jusqu’à sa maison, m’arrêtant une fois devant le pas de la porte. « Non, ça veut dire que t’es chiant. » « J’aurai jamais deviné sans toi, merci Maxence, tu es génial ! » Il rigolait, premier rire depuis le lycée soit dit !
« Max, tu peux venir s’il te plait ? Je me sens pas très bien. » Je raccrochai une fois la réponse positive de mon ami. J’étais encore au lycée, assis sur un des bancs. Une fois de plus, j’avais un peu trop appuyé sur la dose du joint, je ne savais jamais me contrôler. Max accourait en ma direction, tandis que je tentais de garder les yeux ouverts. « JAAZ ! Putain mais … T’ES CON OU QUOI ? CA FAIT UN BAIL QUE JE TE DIS D’ARRETER CES MERDES ! » « Cries pas, chut. » « Tu vas voir si je vais me la fermer, t’es inconscient Jaaziel. » Je broyais un mot sur deux, au point qu’au bout d’un moment je m’endormais sur l’épaule de mon meilleur ami. […] Au réveil, je me trouvais dans une chambre blanche, allongé sur un lit. L’infirmerie du lycée. Maxence finissait par entrer dans la pièce, d’un pas léger. « T’es réveillé ? » demandait-il dans un chuchotement. J’acquiesçai de la tête, encore trop endormi et faible pour dire quoi que ce soit. Max s’asseyait sur le rebord du lit, me regardant. « T’es taré Jaaz. Je veux que t’arrêtes de te droguer ok ? C’est ta vie, putain. T’as une famille, des amis … Puis toi. Je veux pas que ça finisse mal. » Il avait raison au fond mais seulement l’emprise de la drogue, c’est un cercle vicieux. On croit s’en sortir pour mieux y replonger. Grâce à lui, j’avais réussi à m’en défaire, il avait donné tout son mal pour me faire aller mieux et oublier mon addiction. C’est une des raisons pourquoi il est à ce jour mon meilleur ami, parfait soit-il.
that's not easy to live a love story that way but you have to know that i love you more than you can think.  Orphée et moi, ça ne date pas de hier. Rencontrés par le biais de Max –mon meilleur ami puis son frère-, nous passions notre plus tendre enfance ensemble. Je la considérais comme une petite sœur, celle que vous devez chérir, même si elle était en réalité d’un an mon aînée. Je prenais tout le temps sa défense, parfois même je luttais contre le regard incessant de Max lorsque je le faisais. Il avait horreur de ça, il prétendait qu’elle pouvait se débrouiller toute seule. C’était du Max tout craché, sa jalousie maladive et lui. Et pourtant au fil des années, rien n’avait changé. Alors que nous allions tous les deux dans mon garage pour répéter quelques chansons (mordus de musique dans l’âme), il refusait toujours qu’Orphée nous accompagne. Et pourtant, sa voix a toujours été magnifique. Alors pour lui, il était clair qu’on s’abstenait de la présence de sa sœur, même si pour ma part c’était loin de me déplaire.  « Jaaz, Max est à côté, arrêtes … » chuchotait Orphée, portant tout de même un air amusé sur son visage. Nous étions dans le couloir de leur maison, Max dans le salon. Je n’avais pas manqué l’occasion de coller doucement ma petite amie contre le mur, lui déposant une multitude de baisers sur ses lèvres puis parfois dans son cou. En effet, Orphée était depuis peu ma petite-amie ; une relation que l’on voulait tenir secrète, puisque si Max l’apprenait, il allait nous faire la gueule pendant des lustres. Alors tels des ados de quinze ans, nous nous cachions. Cette fois-là, nous avions prétendu aller chercher quelques bricoles au grenier, mais ce n’était qu’une excuse. « T’es pas drôle … » « Non, je suis juste consciente que mon frère peut débarquer à tout moment. » Bon, ok, elle n’avait pas tort. Je jouais clairement avec le feu mais ça m’amusait. Ce n’était pas cool pour Max, je le savais, mais c’était comme pour nous préserver.. nous deux puis Max. […] Parfois, Orphée venait chez moi. C’était le seul endroit où nous pouvions être tranquilles et sereins. Sans avoir la crainte de voir débarquer son frère. « On fait quoi alors ? Un petit film ? » « Ok, mais pas un truc à l’eau de rose ! » « Jaaz, s’te plaaaaaaît ! » Orphée me regardait de son air de chien battu, bien décidée à me faire changer d’avis. « De toute façon, je dors ! » « Ok, dors. Je veille sur toi. » Je lâchais un petit rire. Et nous passions la soirée devant la télévision, bien au chaud, et bien heureux. year after year, i became this guy. bad or good, i don't know but the thing i'm sure about is that i wanna live.  Juana. Elle était la petite dernière de la famille, arrivée il y a environ six mois de cela. Tout comme moi, nos parents avaient pris l’initiative d’accueillir cette petite orpheline parmi nous ; il était évident qu’elle allait avoir une vie de rêve comme moi j’avais eu la chance d’avoir grâce à ce couple si aimant et attentionné. Jemma et moi étions déjà excités à l’idée de la voir arriver dans la maison, quant à Joann elle était réticente. Elle qui avait toujours été la petite dernière, voilà qu’en peu de temps elle finissait par elle aussi endosser des responsabilités de grande sœur. J’avais de réelles affinités avec Juana, j’étais prêt à l’aider au maximum pendant sa croissance ; je savais que son début n’avait pas été facile, que ses parents l’avaient tout comme moi abandonnée. Avec les Hierra, elle se sentirait comme chez elle. Aujourd’hui, Juana avait un an et demi. Elle était adorable, souriait pour tout et n’étais jamais de mauvaise humeur. « Juana, viens, on va manger. » A peine avoir dit ça, elle agitait ses bras en ma direction pour que je la porte. « Alors toi, t’es pas croyable. » Et hop, direction la cuisine. Seulement en chemin, j’avais décidé de m’amuser un peu. Je passais par le salon et déposai doucement Juana sur le canapé. Je la recouvrais de chatouilles, ce qui la faisait rire. « ‘Zieeeel ! » Oui, elle n’arrivait pas vraiment à prononcer mon prénom en entier, c’est donc pourquoi elle me surnommait ‘Ziel’. « Pipi ! » criait-elle ; et en trente seconde je la prenais sur mes épaules tel un sac à patate, direction les toilettes. « JOANN SOOOORS DE LA ! » Evidemment, il fallait toujours que les wc soient occupés. « On peut pas pisser tranquille ici ou quoi ?! » « Pisser ? » demandait Juana de sa petite voix, un regard interrogatif posé sur moi. « Euh, c’est pas beau. Pipi. » En bref, c’était comme ça tous les jours. Eclats de rire, amusement … Juana était un vrai rayon de soleil.  Aujourd’hui, j’étudie les arts. Photographie, peinture, dessin, musique … Un vrai passionné, et pour tout dire tout ça m’intéresse vraiment. C’est donc pourquoi je passe mon plus clair de mon temps branché sur mon iPod, musique en route, un crayon en main que je faisais courir sur une feuille de papier. C’est ce que j’aime, et plus tard, pourquoi ne pas devenir un dessinateur pour BD, ou créateur d’affiche ? Sans oublier le groupe que je tiens toujours avec mon meilleur ami, Max. Le garage, c’est génial, mais parfois je ne peux m’empêcher de m’évader : une scène, un public, des acclamations. Puis des fans. C’est un de mes rêves depuis que je suis gosse et peut-être qu’un jour on finira par avoir nos noms dans la bouche des gens ? Alors en attendant, pourquoi ne pas profiter de la vie, des études, des amis, de la famille ? C’est ce que je fais ; certes il y a des moments où l’envie de voyager est grande, partir un peu mais je sais bien que sans eux, je serai bien trop malheureux. Sans Orphée notamment, qui m’avait fait découvrir ce qu’était le mot ‘aimer’. J’espère que nous deux, ça ira loin, qu’on finira par avouer à Max qu’on est plus que des amis, mais ça, ce n’est surement pas demain la veille. Alors, autant continuer ainsi. Pour le moment.
Dernière édition par Y. Jaaziel Hierra le Dim 20 Jan - 14:37, édité 4 fois |
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« J. Yseult Dickens » Admin ∞ like a tragedy PUTAIN, VOUS M'AUREZ PLUS. Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu, qu’on prend pour l’océan, dans lesquels on voit Dieu, qui font toucher du bout des doigts les horizons. Et toujours à la fin, on est seul au milieu des vagues de sanglots et du sel dans la gorge, et du sel sur la plaie de ce cœur tatoué. A son nom que l’on crie au fond des verres de vin. A se dire que la vie, oui n’était qu’une putain. ∞ âge : 27 ans. ∞ pseudo : RedSnow ∞ messages : 437
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 21:45 | |
| REOUELCOME  Bon courage pour ta fiche  (enfin j'imagine que t'en a pas vraiment besoin si tu gardes Jaaziel ^^). Si tu as une question, n'hésites pas  |
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« Shae-Grace V. Gallagher » shae ∞ flirting with disaster ∞ âge : 25 ans ∞ pseudo : .YESTERDAY (anaïs) ∞ messages : 71
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 22:25 | |
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« Maeve-Irya Fairchild » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : trente ans, et quand elle y pense, elle se bouffe le pot de nutella, c'est dur d'avoir le sentiment de râter sa vie, hein. ∞ pseudo : I AM (SHER)LOCKED. ∞ messages : 106
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 22:33 | |
| REBIENVENUE    bonne chance pour ta fiche (a) Si tu as des questions, n'hésite pas  |
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« Y. Jaaziel Hierra » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : vingt-ans, en route pour les vingt-et-un. mais toujours aussi beau, aucune ride .. pfoua, ilikeit. ∞ pseudo : feeling free. ∞ messages : 127
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Sam 19 Jan - 23:08 | |
| MERCIIIIII BIIIICOUP !   |
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« Asthryd O. Prescott » admin ∞ show me the stars ∞ âge : vingt-cinq ans. ∞ pseudo : sweet poison. ∞ messages : 267
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Dim 20 Jan - 0:08 | |
| REWOUELC Bonne chance pour ta fiche |
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« Maeve-Irya Fairchild » Membre ∞ la famille des phoques ∞ âge : trente ans, et quand elle y pense, elle se bouffe le pot de nutella, c'est dur d'avoir le sentiment de râter sa vie, hein. ∞ pseudo : I AM (SHER)LOCKED. ∞ messages : 106
| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. Dim 20 Jan - 19:28 | |
| Congrats, je te Maevelide bon jeu parmi nous  |
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| | Sujet: Re: (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. | |
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| | | | | | (jaaziel) je voudrais être un cupcake aux smarties. | |
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